PRÈS DE DE LA MOITIÉ
des répondants déclarent avoir déjà été victime d’au moins un type de violence sexiste et sexuelle (VSS), soit 49 %.
53% chez les infirmières, et 24% chez les infirmiers.
39 %
citent des réflexions inappropriées ou dégradantes du fait de leur genre
21 %
des outrages sexistes
4 %
des agressions sexuelles
0,13 %
des viols
Un impact considérable sur la vie personnelle et professionnelle
Pour 34 %
ces faits ont eu un impact sur la santé.
24% des victimes
font état d’effets sur leur vie sociale ou sur leur vie intime.
37 %
déclarent que ces VSS ont fait naître chez eux un sentiment d’insécurité au travail
19 %
qu’elles ont provoqué une, détérioration de leurs relations de travail
14 %
qu’elles ont des répercussions sur leur rapport au travail (absentéisme, démotivation…)
12 %
que ces VSS ont entraîné leur changement de secteur d’activité leur changement de secteur d’activité
Face à ces violences, on constate une forme de résignation
38 %
des infirmières et infirmiers victimes déclarent ainsi n’avoir entrepris aucune démarche.
Seules 2%
des victimes
ont porté plainte, et la même proportion a déposé une main courante
67 %
renoncent à agir par une forme de fatalisme
36 %
par crainte de répercussion sur leur exercice ou leur carrière